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Reportage Raguya Hannani et Jean-Louis Corgier
La région de Guelmim es Smara comprend les Provinces d Guelmim, de Assa-Zag, de TanTan en bord de mer, de Smara en plein désert et la Province de Tata dans l'Anti-Atlas. Pays des oasis, qui représentent 20% des palmiers du Maroc, la région couvre également 20% du territoire marocain. Guelmim es Smara est une région au riche passé culturel.
Très engagé dans la vie économique et touristique, Patrick Simon exprime clairement que la complémentarité entre les enjeux du développement touristique et les enjeux de la construction régionale sont désormais liés et inséparables dans leur nécessité d’authenticité et de durabilité.
Les efforts des dernières années ont manifestement porté leurs fruits : la prise de conscience que le tourisme doit s’intégrer dans une démarche globale de développement durable est actée, l’acceptation que ce développement-là dépend de la capacité d’initiative et des actes de chacun est là encore intégrée par tous.
Les efforts nouveaux doivent désormais s’inscrire dans une vraie dynamique régionale, développant par là un véritable projet collectif élaboré, qualifié, quantifié et financièrement cadré de manière transparente mais claire et précise, c’est-à-dire de manière directive.
Plus que jamais auparavant en effet, cet état des lieux pointe la nécessité absolue que la régionalisation, dans ses dimensions administratives et financières, doit affirmer des directives durables, équilibrées, réalistes et donc rationnelles par rapport aux possibilités et capacités réelles de chaque territoire, dans un esprit de partage et d’échange avec les acteurs locaux.
Très engagé dans la vie économique et touristique, Patrick Simon exprime clairement que la complémentarité entre les enjeux du développement touristique et les enjeux de la construction régionale sont désormais liés et inséparables dans leur nécessité d’authenticité et de durabilité.
Les efforts des dernières années ont manifestement porté leurs fruits : la prise de conscience que le tourisme doit s’intégrer dans une démarche globale de développement durable est actée, l’acceptation que ce développement-là dépend de la capacité d’initiative et des actes de chacun est là encore intégrée par tous.
Les efforts nouveaux doivent désormais s’inscrire dans une vraie dynamique régionale, développant par là un véritable projet collectif élaboré, qualifié, quantifié et financièrement cadré de manière transparente mais claire et précise, c’est-à-dire de manière directive.
Plus que jamais auparavant en effet, cet état des lieux pointe la nécessité absolue que la régionalisation, dans ses dimensions administratives et financières, doit affirmer des directives durables, équilibrées, réalistes et donc rationnelles par rapport aux possibilités et capacités réelles de chaque territoire, dans un esprit de partage et d’échange avec les acteurs locaux.