A seulement 21 ans, la jeune Ariya Jutanugarn a remporté le British Open Féminin 2016, ce qui lui permet d’offrir à la Thaïlande son tout premier titre du Grand Chelem. Ariya vient également de décrocher le Canadian Pacific Women’s Open et signe ainsi sa cinquième victoire de la saison.
Plus connue sous le surnom de Pro May en Thaïlande, Ariya Jutanugarn a débuté sa carrière professionnelle en 2012. Actuellement 2ème au classement Rolex, elle a réalisé un record historique en étant la première femme à remporter trois victoires consécutives à l’occasion de trois événements du LPGA Tour. Depuis le 19 septembre Ariya représente dignement son pays à l’occasion d’événements internationaux et contribue ainsi à la promotion de ses nombreux parcours et infrastructures exceptionnels, afin de positionner définitivement la Thaïlande comme une destination golfique incontournable.
Ariya Jutanugarn en compagnie de sa soeur également golfeuse professionnelle préparent une salade à la papaye verte sous le regard attentif du chef du restaurant l'Eléphant bleu de Pairis. Crédit photo TAT Thaïlande.
Vous avez gagné cette année le Women’s British Open. Personne jusqu’ici n’était parvenu à ramener un titre du Grand Chelem en Thaïlande ?
C’est vrai. Je ne suis pas seulement contente parce que je suis la première en Thaïlande à avoir gagné ce type de tournoi, mais parce que j’ai montré au monde le niveau de jeu du golf thaïlandais.
Etes-vous fière de représenter la Thaïlande ?
Oui, c’est un grand honneur pour moi de représenter mon pays, son hospitalité, sa culture et bien sûr sa gastronomie. Le sourire est dans nos gênes et je vais m’employer à sourire le plus possible.
Quel est justement votre plat préféré en Thaïlande ?
J’ai réellement l’impression que la nourriture thaïe me rend plus forte sur les parcours. Quand je reviens en Thaïlande, je n’oublie jamais d’aller déguster des Som Tum, un plat typique et très populaire dans tout le pays composé de poulet grillé au riz gluant.
C’est vrai. Je ne suis pas seulement contente parce que je suis la première en Thaïlande à avoir gagné ce type de tournoi, mais parce que j’ai montré au monde le niveau de jeu du golf thaïlandais.
Etes-vous fière de représenter la Thaïlande ?
Oui, c’est un grand honneur pour moi de représenter mon pays, son hospitalité, sa culture et bien sûr sa gastronomie. Le sourire est dans nos gênes et je vais m’employer à sourire le plus possible.
Quel est justement votre plat préféré en Thaïlande ?
J’ai réellement l’impression que la nourriture thaïe me rend plus forte sur les parcours. Quand je reviens en Thaïlande, je n’oublie jamais d’aller déguster des Som Tum, un plat typique et très populaire dans tout le pays composé de poulet grillé au riz gluant.
Etes-vous totalement remise de votre blessure au genou gauche ?
Oui, c’est maintenant de l’histoire ancienne. Aux Jeux Olympiques j’étais blessée et j’ai dû malheureusement abandonner. Cela m’a vraiment contrariée car tous les athlètes veulent bien sûr gagner une médaille aux Jeux Olympiques. J’ai pu guérir grâce à un traitement spécifique qui s’appelle le “Drying Needle treatment”. Au bout de neuf jours je me sentais comme avant, ce qui m’a certainement permis de gagner le Canadian Pacific Women’s Open.
Quelle image avez-vous du rôle si particulier des caddies féminins sur les parcours de Thaïlande ?
J’ai vraiment besoin de mes caddies sur un tournoi de golf. Aux Etats-Unis par exemple, il n’y a pas de caddies et cela me prend le double de temps pour réaliser le parcours. J’adore jouer en Thaïlande parce que nous pouvons être conseillés utilement par nos caddies. Elles m’aident beaucoup sur le parcours. Cela nous permet d’avoir beaucoup de plaisir sur le terrain et de ne pas être préoccupés par la gestion du matériel.
Oui, c’est maintenant de l’histoire ancienne. Aux Jeux Olympiques j’étais blessée et j’ai dû malheureusement abandonner. Cela m’a vraiment contrariée car tous les athlètes veulent bien sûr gagner une médaille aux Jeux Olympiques. J’ai pu guérir grâce à un traitement spécifique qui s’appelle le “Drying Needle treatment”. Au bout de neuf jours je me sentais comme avant, ce qui m’a certainement permis de gagner le Canadian Pacific Women’s Open.
Quelle image avez-vous du rôle si particulier des caddies féminins sur les parcours de Thaïlande ?
J’ai vraiment besoin de mes caddies sur un tournoi de golf. Aux Etats-Unis par exemple, il n’y a pas de caddies et cela me prend le double de temps pour réaliser le parcours. J’adore jouer en Thaïlande parce que nous pouvons être conseillés utilement par nos caddies. Elles m’aident beaucoup sur le parcours. Cela nous permet d’avoir beaucoup de plaisir sur le terrain et de ne pas être préoccupés par la gestion du matériel.
Quel sont les parcours que vous préférez le plus Thaïlande ?
J’aime particulièrement jouer à Hua Hin avec une petite préférence pour le parcours de Black Montains. De son côté, le Banyan Golf Club est un parcours qui a un trou à partir duquel vous pouvez profiter de la vue sur l’Océan ce qui est très agréable et relaxant lorsque vous jouez au golf.
Quelles sont vos ambitions pour la saison prochaine ?
J’aimerais bien sûr devenir numéro 1 mais je ne suis pas obsédée tous les jours par ma place dans le classement. J’essaye juste d’avoir du plaisir en jouant. C’est pour moi la meilleure façon de progresser.
Propos recueillis par David RAYNAL
J’aime particulièrement jouer à Hua Hin avec une petite préférence pour le parcours de Black Montains. De son côté, le Banyan Golf Club est un parcours qui a un trou à partir duquel vous pouvez profiter de la vue sur l’Océan ce qui est très agréable et relaxant lorsque vous jouez au golf.
Quelles sont vos ambitions pour la saison prochaine ?
J’aimerais bien sûr devenir numéro 1 mais je ne suis pas obsédée tous les jours par ma place dans le classement. J’essaye juste d’avoir du plaisir en jouant. C’est pour moi la meilleure façon de progresser.
Propos recueillis par David RAYNAL