Depuis bientôt trente ans, la ville du Havre et le groupe Jacobs Douwe Egberts (JDE), premier industriel mondial du café, ont créé un duo solide pour organiser ce bel événement et en faire une fête soit toujours réussie. “La Transat vit bien et s’inscrit dans la durée, elle est désormais dans l’ADN du Havre", déclarait Edouard Philippe avant l'inauguration. “C’est exceptionnel de perdurer ce partenariat privé / public. Nous avons toujours travaillé en bonne intelligence et surtout, en se faisant confiance. C’est une grande fierté pour nos deux entités que de mettre en place un événement d’une telle ampleur aussi régulièrement.”
Inauguration du Village par Edouard Philippe, maire du Havre, Marie-Agnès Poussier-Winsback, vice-présidente de la région Normandie et Juan Amat, président de l'association Transat Jacques Vabre et président de JDE Europe. - © Jean--Marie Liot / Alea
Cette histoire s’écrit aussi au sein de JDE au fil des éditions. Le groupe s’est d’ailleurs déjà engagé sur les éditions 2023 et 2025. “C’est pour JDE une opportunité d’activation de la marque, mais aussi et surtout un attachement à faire vivre l’événement en interne également", expliquait Juan Amat. “Cette année, près de 90 collaborateurs se sont portés volontaires pour aider, tout au long de la semaine, sur le village du Havre. C’est réellement devenu une fête pour l’entreprise.”
Une nouvelle destination
Depuis la première transat en 1993, toutes les courses avaient pour destination finale un pays producteur de café en Amérique du Sud. Pour la première fois de son histoire, la Transat Jacques Vabre ralliera Fort-de-France, en Martinique. Aussi, cette Route du Café 2021 retracera les routes originelles initiées en 1721 par Gabriel de Clieu, parti vers les Antilles avec trois plants de café confiés par Louis XIV. Une histoire qui fait sens pour le groupe JDE. “Nous importons du café depuis le continent américain depuis maintenant 40 ans,” expliquait Juan Amat, “c’est donc une grande fierté de pouvoir faire vivre cette histoire en créant une course 100% française, mais aussi en créant un café 100% français grâce à la réimplantation de cultures de caféiers sur le territoire martiniquais.”
