Si les Québécois sont majoritairement francophones, l'anglais gagne impitoyablement du terrain et nos lointains cousins n’ont pas gardé toutes les composantes du caractère latin. Ici le quart d’heure de retard n’a pas sa place, le voyageur d’affaires se doit d’être à l’heure à ses rendez-vous avec un dossier bouclé en main et aller à l’essentiel. L’efficacité toujours dans le viseur, les négociations des contrats se font assez rapidement. A l’exemple de Montréal, qui cultive le plaisir de vivre, la hiérarchie au Canada est souple et peu formelle. Cette accessibilité permet d’ailleurs d’avoir assez facilement l’interlocuteur voulu lors d’une prise de rendez-vous, quelque soit son niveau de responsabilité. Cette simplicité des rapports transparaît également à travers un tutoiement rapide. Les professionnels qui viennent à la rencontre des Québécois remarqueront que le «vous» disparaît après les présentations. D’ailleurs le maintien du vouvoiement est, en plus de l’accent (car pour eux, c’est nous qui l’avons), l’indice qui trahit les Français.
Malgré notre passé commun, il est important de ne pas arriver en terrain conquis ou faire de preuve de condescendance. Bien que le fondateur de la ville - Paul de Chomedey, sieur de Maisonneuve - ait été un officier français, les Montréalais ont suivi leur propre chemin depuis 400 ans.
Il ne faut pas se formaliser si on est repris en utilisant des mots anglais comme week-end et ensuite entendre ses collaborateurs d’outre-Atlantique utiliser très régulièrement le mot «cute» (mignon) dans leur conversation. Les Québécois qui veulent protéger leur langue ont conscience de leurs contradictions concernant le sujet de l’anglicisme !
Malgré notre passé commun, il est important de ne pas arriver en terrain conquis ou faire de preuve de condescendance. Bien que le fondateur de la ville - Paul de Chomedey, sieur de Maisonneuve - ait été un officier français, les Montréalais ont suivi leur propre chemin depuis 400 ans.
Il ne faut pas se formaliser si on est repris en utilisant des mots anglais comme week-end et ensuite entendre ses collaborateurs d’outre-Atlantique utiliser très régulièrement le mot «cute» (mignon) dans leur conversation. Les Québécois qui veulent protéger leur langue ont conscience de leurs contradictions concernant le sujet de l’anglicisme !
Un Centre historique, un plateau Mont-Royal un peu bobo, Chinatown, la petite Italie, l’Outremont francophone ou encore l’anglophone Westmount… Montréal est une ville multiculturelle qui élève le «bon vivre» en mode de vie. Restaurants, bars, shopping, parcs… elle fourmille d’activité et de style. Bien qu’elle compte plus de 3,8 millions d’habitants avec l'agglomération, le stress se fait peu ressentir dans ses rues rectilignes actives. Si la circulation - surtout sur les ponts qui desservent l’île de Montréal - connaît des ralentissements aux heures de pointe, elle est toutefois moins dense qu’à Paris. Pour éviter ces difficultés, les voyageurs d’affaires ont la possibilité d’utiliser un réseau de transport en commun bien fourni (4 lignes de métro et 68 stations, 170 lignes de bus dont 20 nocturnes ainsi que 5 lignes de trains de banlieue).
Montréal et sa population sont pleins d’énergie. Aux beaux jours ou lors de l’été indien, les Montréalais profitent de la présence des rayons de soleil pour sortir et profiter de leurs nombreux parcs pour faire du sport (jogging, tennis, VTT, foot…) ou tout simplement bronzer dans l’herbe. L’hiver et ses nombreux épisodes neigeux effraient certains professionnels qui ne savent quoi mettre dans leur valise, ayant peu de vêtements adaptés aux températures négatives. Mais pas d’inquiétude, il suffit généralement de prendre des habits chauds et confortables, vous trouverez sur place le complément et à des tarifs très attractifs. Montréal s’est en effet adaptée à son climat en mettant au point une "ville souterraine" unique en son genre. Hôtels, bureaux, boutiques, salles de congrès ainsi que les stations de métro et deux gares ferroviaires sont ainsi reliés par 30 km de couloirs dont le développement a débuté lors de la construction de la Place Ville-Marie en 1962. Elle permet de vaquer à ses activités sans devoir affronter le froid extérieur.
Montréal et sa population sont pleins d’énergie. Aux beaux jours ou lors de l’été indien, les Montréalais profitent de la présence des rayons de soleil pour sortir et profiter de leurs nombreux parcs pour faire du sport (jogging, tennis, VTT, foot…) ou tout simplement bronzer dans l’herbe. L’hiver et ses nombreux épisodes neigeux effraient certains professionnels qui ne savent quoi mettre dans leur valise, ayant peu de vêtements adaptés aux températures négatives. Mais pas d’inquiétude, il suffit généralement de prendre des habits chauds et confortables, vous trouverez sur place le complément et à des tarifs très attractifs. Montréal s’est en effet adaptée à son climat en mettant au point une "ville souterraine" unique en son genre. Hôtels, bureaux, boutiques, salles de congrès ainsi que les stations de métro et deux gares ferroviaires sont ainsi reliés par 30 km de couloirs dont le développement a débuté lors de la construction de la Place Ville-Marie en 1962. Elle permet de vaquer à ses activités sans devoir affronter le froid extérieur.
En 3 heures
- Parcourir et éventuellement faire du shopping dans la rue Saint-Catherine. C’est la rue commerçante la plus importante et la plus animée de la ville. Longue de 11 kilomètres, elle compte près de 1200 boutiques dont le grand magasin La Baie (585 Rue Sainte-Catherine Ouest Montréal) qui réunit dans ses rayons vêtements, lingerie, bijoux…
- Flâner librement dans le vieux Montréal. C’est ici, en 1642, que les premiers colons français se sont établis, baptisant leur cité Ville-Marie. Ce quartier historique qui se parcourt facilement à pied, abrite de nombreux musées et points d’intérêt comme la Basilique notre-dame de Montréal, le centre d’histoire de Montréal ou encore le musée Pointe-à-callière, établissement installé sur les lieux de la fondation de la ville. Si le temps le permet, il est possible de pousser jusqu’au vieux port où les habitants aiment se promener, faire du vélo aux abords du fleuve Saint Laurent. Pour la pause shopping, les voyageurs d’affaires qui n’auront pas trouvé leur bonheur dans les nombreux magasins de souvenirs du quartier pourront se rendre au Marché Bonsecours qui réunit plusieurs artisans et métiers d’art. Il est ensuite possible de finir la journée par un verre ou un bon repas en restant dans ses rues chargées d’histoire. En effet de nombreux bars et les meilleures tables de la ville sont situés ici.
En une après-midi
- Le biodôme de Montréal (4777, avenue Pierre-De Coubertin), l’ancien vélodrome des jeux olympiques d’été 1976 abrite quatre écosystèmes en un seul endroit : forêt tropicale, forêt laurentienne ainsi que l’Antarctique et le l’Arctique. En plein hiver canadien, la chaleur tropicale où évolue amphibiens, reptiles ou oiseaux est particulièrement agréable mais attention au choc culturel et thermique ! Tarif : 17,75 $. Situé à coté du jardin botanique, de l’insectarium, du planétarium qui rouvrira au printemps 2013 mais surtout de la Tour de Montréal (symbole des jeux olympiques), des forfaits sont proposés permettant de visiter plusieurs de ces lieux. Forfait «1 musée + la tour de Montréal» est par exemple à 29,50 dollars canadiens
- Mont Royal : Les amateurs de sport ou de verdure peuvent également passer leur après-midi de liberté dans le parc de la colline qui a donné son nom à la ville. Il est possible d’y accéder en voiture ou en bus, mais les plus téméraires peuvent s’y rendre à pied par des sentiers et des escaliers. Deux belvédères permettent de (re)découvrir la ville avec de la hauteur. La plus belle vue s’offre de la terrasse du Chalet du Mont Royal. Eté comme hiver, le parc est plein de vie. Lors de la saison froide, les Montréalais profitent du lieu pour faire des sports d’hiver comme du ski de fond, des raquettes ou du patin lorsque le lac des castors est transformé en patinoire. Avec l’arrivée du soleil, parka et moufles laissent place aux vélos, aux rollers et au farniente. Les voyageurs d’affaires qui déambuleraient dans le parc un dimanche pourront même faire leur promenade au son des djembés. Les joueurs de tam-tam ont en effet pris l’habitude de se donner rendez-vous au pied du monument à Sir George-Étienne Cartier pour un bœuf.
Une soirée
Si votre séjour se déroule entre octobre et avril, impossible d’échapper au hockey. La saison régulière du sport national, élevé par certains Canadiens au rang de religion, bat son plein. Aller voir un match de l’équipe de la ville, les Canadiens de Montréal, au centre Bell est une expérience à ne pas louper. Malheureusement les billets partent très vite et sont assez chers. Ceux qui n’ont donc pu se procurer le sésame pour rentrer dans l’arène, peuvent se consoler en regardant le match dans un bar de la ville entouré par des supporteurs fiévreux. C’est déjà une expérience en soi ! Pour cela, les professionnels peuvent se rendre dans les établissements de la chaîne de bars sportifs la Cage aux Sports ou encore dans l’institution montréalaise située sur le Plateau, la Taverne normande (1550 av. du Mont-Royal Est).
Source - wwwdeplacementspro.com
- Parcourir et éventuellement faire du shopping dans la rue Saint-Catherine. C’est la rue commerçante la plus importante et la plus animée de la ville. Longue de 11 kilomètres, elle compte près de 1200 boutiques dont le grand magasin La Baie (585 Rue Sainte-Catherine Ouest Montréal) qui réunit dans ses rayons vêtements, lingerie, bijoux…
- Flâner librement dans le vieux Montréal. C’est ici, en 1642, que les premiers colons français se sont établis, baptisant leur cité Ville-Marie. Ce quartier historique qui se parcourt facilement à pied, abrite de nombreux musées et points d’intérêt comme la Basilique notre-dame de Montréal, le centre d’histoire de Montréal ou encore le musée Pointe-à-callière, établissement installé sur les lieux de la fondation de la ville. Si le temps le permet, il est possible de pousser jusqu’au vieux port où les habitants aiment se promener, faire du vélo aux abords du fleuve Saint Laurent. Pour la pause shopping, les voyageurs d’affaires qui n’auront pas trouvé leur bonheur dans les nombreux magasins de souvenirs du quartier pourront se rendre au Marché Bonsecours qui réunit plusieurs artisans et métiers d’art. Il est ensuite possible de finir la journée par un verre ou un bon repas en restant dans ses rues chargées d’histoire. En effet de nombreux bars et les meilleures tables de la ville sont situés ici.
En une après-midi
- Le biodôme de Montréal (4777, avenue Pierre-De Coubertin), l’ancien vélodrome des jeux olympiques d’été 1976 abrite quatre écosystèmes en un seul endroit : forêt tropicale, forêt laurentienne ainsi que l’Antarctique et le l’Arctique. En plein hiver canadien, la chaleur tropicale où évolue amphibiens, reptiles ou oiseaux est particulièrement agréable mais attention au choc culturel et thermique ! Tarif : 17,75 $. Situé à coté du jardin botanique, de l’insectarium, du planétarium qui rouvrira au printemps 2013 mais surtout de la Tour de Montréal (symbole des jeux olympiques), des forfaits sont proposés permettant de visiter plusieurs de ces lieux. Forfait «1 musée + la tour de Montréal» est par exemple à 29,50 dollars canadiens
- Mont Royal : Les amateurs de sport ou de verdure peuvent également passer leur après-midi de liberté dans le parc de la colline qui a donné son nom à la ville. Il est possible d’y accéder en voiture ou en bus, mais les plus téméraires peuvent s’y rendre à pied par des sentiers et des escaliers. Deux belvédères permettent de (re)découvrir la ville avec de la hauteur. La plus belle vue s’offre de la terrasse du Chalet du Mont Royal. Eté comme hiver, le parc est plein de vie. Lors de la saison froide, les Montréalais profitent du lieu pour faire des sports d’hiver comme du ski de fond, des raquettes ou du patin lorsque le lac des castors est transformé en patinoire. Avec l’arrivée du soleil, parka et moufles laissent place aux vélos, aux rollers et au farniente. Les voyageurs d’affaires qui déambuleraient dans le parc un dimanche pourront même faire leur promenade au son des djembés. Les joueurs de tam-tam ont en effet pris l’habitude de se donner rendez-vous au pied du monument à Sir George-Étienne Cartier pour un bœuf.
Une soirée
Si votre séjour se déroule entre octobre et avril, impossible d’échapper au hockey. La saison régulière du sport national, élevé par certains Canadiens au rang de religion, bat son plein. Aller voir un match de l’équipe de la ville, les Canadiens de Montréal, au centre Bell est une expérience à ne pas louper. Malheureusement les billets partent très vite et sont assez chers. Ceux qui n’ont donc pu se procurer le sésame pour rentrer dans l’arène, peuvent se consoler en regardant le match dans un bar de la ville entouré par des supporteurs fiévreux. C’est déjà une expérience en soi ! Pour cela, les professionnels peuvent se rendre dans les établissements de la chaîne de bars sportifs la Cage aux Sports ou encore dans l’institution montréalaise située sur le Plateau, la Taverne normande (1550 av. du Mont-Royal Est).
Source - wwwdeplacementspro.com